Permettez-nous un bref retour au jeudi 29 octobre. De nouvelles personnes sont venues au parc pour y habiter, en famille. Leurs papiers sont en règle mais comme les places d’hébergement d’urgence manquent (le numéro 115 qu’il faut appeler tout les jours), ils sont forcé-es d’y rester. Leur intégration fut rapide et facilitée par plusieurs coups de mains. Nous ne devons pas nous résigner à cette situation, nous pratiquons l’autogestion mais nous ne nous contenterons pas de l’existence de ce camp. (…)
Suite du communiqué : Olieux-communiqué-06